Franck est en collocation avec trois autres personnes notamment avec Félix qui vient aussi de l'UTBM et qui a étudié dans le département énergie comme nous deux. Ça fait super plaisir de les revoir tout les deux. C'est drôle de se revoir si loin de Belfort. On a discuté de notre voyage mais aussi de leur vie à Montréal depuis qu'ils sont partis. Franck devait se lever tôt le lendemain en raison des 24h de l'innovation (un concours où les étudiants ont 24h pour présenter un projet innovant). 

On a donc visité la ville en solo aujourd'hui. Il nous a conseillé de commencé par le vieux Port de Montréal et de finir par les jardins botaniques car c'est la seule journée ensoleillée de la semaine. 

Au vieux port, on se croirait comme en Bretagne. Même architecture. Les bâtisses sont en pierres grises et les cheminées sont situées aux extrémités (photos à l'appui). Nous n'avons pas vu réellement de bateaux au vieux ports. Il ne s'agissait que des grands quais qui bordent le fleuve St-Laurent. Sur ces derniers ont été construits des usines et la cité de la Science. 

En se baladant dans les rues du vieux Montréal, on s'arrête dans un restaurant Place Jacques Cartier. C'est la place principale de la ville. L'hôtel de ville est devant nous. Il fait beau et la température est agréable, idéale pour manger une glace en cours de route. 

En début d'après-midi, nous prenons le métro en direction du parc olympique. En plus de l'imposant stade, il y a là-bas les jardins botaniques (14,4$CA). Il y a plusieurs jardins à thème comme le jardin Japonais, chinois, alpin. On prend notre temps devant les cerisiers en fleurs. 

On finira par monter le mont Royal pour le coucher du soleil. C'est le point de vue panoramique de la ville. On réalise vraiment la grande largeur du St-Laurent. 

En rentrant, Franck n'était pas là.. il doit toujours être entrain de bosser pour ce concours. Demain, nous irons probablement visiter les souterrains. Contrairement à ceux de Seattle, ceux-là sont entièrement aménagés en grandes galeries commerciales (idéal pour se réfugier comme il pleut).